A la Cité des Sciences, le voyage est garanti. La Géode ressemble à un énorme casque d'astronaute, l'architecture est d'une modernité affichée, tandis qu'à ses pieds gît le sous-marin classique Argonaute, témoin d'un âge oublié.
L'occasion de circuler dans des coursives tellement étroites que les épaules larges ne peuvent passer, de se rendre compte des conditions de vie des sous-mariners dans ces cigares de poche où une torpille est mieux logée qu'un matelot.
Du ciel à l'espace : Solar Impulse, l'avion à propulsion solaire est là qui domine le grand hall, ou que l'on domine en accédant au niveau du planétarium.
Au planétarium, dans des fauteuils inclinés si moelleux que je m'y suis endormi, on apprend des choses passionnantes sur la lune.
Puis en sortant on va jouer avec une fusée à propulsion hydraulique : quelle quantité d'eau faire entrer dans le réservoir pour que l'équation poids / durée de la propulsion donne un lancement optimal ? Les intrépides remplissent le réservoir à fond, les prudent à moitié : c'est aux trois quarts que le meilleur résultat sera obtenu.
A la Villette on peut aussi prendre son temps, observer par les grandes verrières la vue vers la Philharmonique de Paris au-delà du parc de la Géode.
Profiter d'un banc dans une serre remplie de plantes tropicales, en se souvenant d'un voyage récent où ces mêmes plantes étaient juste dans la nature...
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